Il suffit parfois d'un tweet pour que le monde de 'information s'enflamme. On l'a vu avec la mort d'une passante en Iran, devenue un symbole de la révolution (tuée dans l'oeuf)... et en ce début d'année, j'ai appris la mort de Bernard Montiel l'été dernier.
Bon, heureusement pour lui, c'était un canular, mais quand les journalistes jouent avec l'information en sachant pertinemment que ce n'en est pas une, c'est là que le doute sur les autres informations devrait s'installer.
L'un des crédos de la presse devrait être de vérifier les sources et les informations avant de les colporter. Ces deux dernières années, avec Twitter en cause (ou plutôt ses utilisateurs), on dénombre de nombreux cas de fausses informations ayant filtré dans la presse dite sérieuse. Le hic, c'est que les démentis et le rétablissement de la vérité est bien moins mis en valeur que la rumeur ou fausse information de départ !
Cette chronique d'un canular et aussi la chronique d'un fail ou d'une blague qui a dégénéré...
Alors voilà comment Bernard Montiel est mort alors qu'il se porte très bien et qu'il continuera à oeuvrer encore longtemps.